Les Festivaliers à Deauville

Parce qu’on les as tous croisés…

Dis donc ! J’avais oublié de vous faire mon petit lance-flammes spécial Deauville ! Tête en l’air que je suis ! Je dis festivaliers, mais il y en aura pour tout le monde. Pot bien pourri des énergumènes que l’on peut croiser durant le Festival de Deauville (je préviens, beaucoup de personnes âgées, qui ne sont pas tout le temps gentilles) :

  • Les gens qui regardent leur téléphone durant un film (un classique du genre).
  • Le gros c** durant le très bon discours de Vincent Lindon. Plus lourd, tu meurs. Mais ta gue*** !
  • Les grugeurs dans la file d’attente : je t’en prie, passe devant moi, pas comme si j’attendais depuis un moment.
  • La vieille qui décide de s’installer au milieu de notre groupe sous prétexte qu’il y avait une place vide (avec des affaires). On ne peut plus aller pisser tranquille sans se faire piquer son siège !
  • Des cinquantenaires qui décident de discuter devant Knight of Cups. Même leur demander de se taire n’a pas fonctionné.
  • Tu as beau être le patron d’Il Parasol, être blindé et faire trois services, tu peux quand même être aimable. Si si.
  • Le train du retour est ultra blindé, nous avions quatre places réservées et bien sûr, il y a un vieux qui s’est installé dans ce carré. Attention, pas n’importe lequel, le vieux le plus leeeennnnt du monde : 5 bonnes minutes pour se lever, mettre sa veste, enrouler son câble de je-ne-sais-pas-quoi, fermer son sac et sortir.
  • Les vieux qui râlent.
  • Le couple de vieux qui ne retire pas leurs jambes afin qu’on ait de la place pour s’asseoir dans le TER.
  • Et les mêmes que l’année dernière, les journaleux ET les photographes en salles de presse qui font un boucan pas possible, se prenant toujours pour les rois des cons du monde ! Je voulais dire du monde !

Et vive le cinéma quoi !

À éradiquer au lance-flammes !

25/09/2015