The Crazy Ones jpg

Miss Bobby_The Crazy OnesParmi toutes les nouvelles séries que j’ai commencé à la rentrée (Dads, Super Fun night, The Michael J. Fox show – ouais moi aussi je me demande comment je fais pour m’y retrouver si j’englobe aussi les anciennes), j’aimerai vous parler de The Crazy Ones.

Simon Roberts, le patron excentrique d’une agence de pub de renom, travaille avec sa fille, Sydney, son total opposé. Entourés d’une équipe de talentueux publicitaires, ils s’efforcent de rester dans le coup malgré la concurrence et la folie qui s’emparent d’eux bien souvent…

Dit comme ça, rien d’extraordinaire me direz-vous. La particularité de la série réside dans l’acteur qui interprète Simon Roberts, celui qu’il est trèèèèèès difficile de détester, qui vous a fait pleurer dans Le cercle des poètes disparus, remettre en cause votre vie dans Will Hunting et qui vous a donné envie de vous acheter un jeu Jumanji ou encore de faire appelle à une nounou dans Madame Doubtfire. L’illustre Robin Williams. Celui-là même qui a appelé sa fille Zelda en hommage au jeu vidéo (mes enfants je les appellerai Lara et Nathan).

Elle a des défauts cette série, oui ! Déjà, ils parlent beauuuuuucoup trop vite, avec les sous titres, c’est ingérable. C’est loin d’être passionnant, mais au moins ils ont le mérite de chercher des idées de pub plutôt farfelues, de se mettre dans des situations cocasses et de ne pas utiliser de langage châtié. J’attends deux choses à chaque épisode : les passages de Robin Williams qui sont pour le moins complètement barrés, partant parfois dans des improvisations dont lui seul à le secret. Et puis, le bêtisier post générique. C’est mon moment préféré, j’en pleure de rire de le voir en roue libre et je suis fascinée par son imagination débordante.

J’en oublie presque notre chère Buffy, Sarah Michelle Gellar qui joue Sydney, sa fille, pas toujours facile pour elle de supporter un papa aussi exubérant.

Vous l’aurez compris, l’atout de cette série, c’est son acteur principal, Robin Williams. Et je vous laisse avec un morceau du bêtisier du pilote qui recevait en guest star la chanteuse Kelly Clarkson (j’adore cet extrait) :

18/11/2013